samedi 3 décembre 2011

Un "Dé Sombre" De Transition






Eh bien ! dites-le maintenant, n’ai-je pas raison ? Serait il pas le meilleur des pires choix ? ça était réalisable avant a n’importe quel moment de puis la fissure, mais je n’étais malheureusement pas quelqu’un qui ne calcule que pour son propre intérêt, c’était l’instinct de ne pas vouloir avoir mal que j’éviterais sévèrement être la cause d’un mal. Je n’ai jamais promis a quelqu’un que je serais a lui pour l’éternité, je n’ai jamais raconté a quelqu’un que je parlerais a ses photo dans mon portable la nuit avant que je dors. Malgré cela j’avais en moi tout ce que le statut avait besoin. J’étais un homme de trop au point de ne jamais penser valoriser ou prendre en considération ce faite. La personne elle n’a jamais était importante vu sa classe esthétique ou sociale. Ce qui a était important ce n’était que ces indices de la personne accro a l’indépendance et follement inaccessible.


N’ai-je pas joué dans toute cette histoire le rôle d’un homme de trop ? Quelle stupide cinquième roue de carrosse !… Ah que c’est amer, bien amer ! on attendait le moment du fissure pour que je soi traité d’un tambour qui n’a de massif que sa sonorisation et qui en fin de compte il n’est qu’un tambour creux. On attendait le moment de fissure pour que je soi considéré comme un idiot qui se croit sage, un chien qui aboi quand les caravanes passent, un sale perdant qui est soi disant, décrit le raisin comme amer rien que parce que j’ai pa pu l’atteindre…Oui, mais comme on dis, encore un coup, un seul petit coup de sur estimation, et il n’y aura plus pour moi ni amertume ni douceur.


18 Janvier. Je vais mal depuis. J’écris ces lignes dans mon lit. Hier soir le temps a subitement changé; aujourd’hui il fait chaud, c’est presque une journée d’été. Tout fond, coule et dissout. Une senteur de terre remuée se répand dans l’air ; c’est un parfum chaud, lourd et accablant. La vapeur s’élève de toutes parts. Le soleil vous pique et vous pénètre. Je vais mal. Je sens que je me décompose. J’ai voulu écrire mon journal, et qu’ai-je fait ? J’ai raconté un seul épisode de ma vie. Je me suis trop laissé aller. Des souvenirs effacés se sont éveillés et m’ont entraîné à leur suite. J’ai écrit sans me hâter. Je suis entré dans mille détails, comme si j’avais encore des années devant moi, et voilà que le temps me manque pour continuer. J’entends déjà son crescendo a elle, la fin, menaçant… Il est temps… il est temps !… Et pourquoi regretter ? Qu’importe ce que je conte ? Cela ne revient-il pas au même ? À la vue de la mormoral disparaissent les dernières vanités terrestres.


Je sens que je m’apaise, que je deviens plus simple et plus naturel. C’est trop tard !… Chose étrange ! je m’apaise certainement, mais en même temps… je suis saisi de terreur…, de terreur, oui. À moitié penché sur l’abîme silencieux et béant, avec un corps kadavresque je frémis, je me détourne, je regarde autour de moi avec une attention avide. Chaque objet me devient doublement cher. Je prends congé de chaque petite tache sur mes murs ! Rassasiez vous, mes yeux, pour la dernière fois ! La vie m’échappe ; elle s’éloigne de moi avec une lente régularité, comme le rivage qui fuit le regard du marin.

Toi, Trésor, ma pauvre guitare ; toi, plume, avec laquelle je trace ces lignes, mains qui m’appartenez, je vous vois tous à présent. Vous êtes là… vous voilà… Se pourrait-il… qu’aujourd’hui peut-être que jamais je ne vous revoie plus ? Il est difficile à un être vivant de se dépouiller de la vie ! Pourquoi me caresses-tu, pauvre espoir ? Pourquoi frottes-tu ton front contre le mien ? Pourquoi serres-tu convulsivement ta queue entre tes pattes comme un chien de rue, sans pouvoir détacher de moi tes bons yeux mélancoliques ? Me plaindrais-tu ? ou bien sentirais-tu peut-être que ton maître ne sera bientôt plus ? Ah ! que ne m’est-il donné de reporter ma pensée sur tous mes souvenirs, comme je laisse errer mes yeux sur tous les objets de ma chambre !


Je sais que ces souvenirs sont tristes et insignifiants : mais je n’ai que ceux-là… Un vide, un vide affreux, comme disait les séropositives d’amour… Mon Dieu ! Mon Dieu ! Ce cœur avide et capable d’amour va bientôt cesser de battre… Est-il possible qu’il se taise à jamais sans avoir une seule fois connu le bonheur, sans s’être dilaté une seule fois sous la douce pression de la joie ! Hélas ! C’est impossible, c’est impossible, je le sais. Si du moins, à cette heure, au moment de ma « mormoral ». Si du moins quelque voix triste et amicale me chantait le chant d’adieu de mes propres douleurs, peut-être me réconcilierais-je avec elles dans les bras d’un décembre, sur le rythme d’un « dé sombre » qui subit son jet et qui tourne et tourne. Serait il pas que tous ces déception ne son que le murail de la scène que je subis et que le dé a force de tourner, se fait des claques sévères sur les surfaces de ces murail ? La bonne coté des choses c’est que ça diminue sa vitesse, donc la fin est proche. Avoir encore la foi pour attendre ? Ça je ne peux le garantir. Mais mourir sourdement, sottement… Je crois que je commence à délirer.

J’ai écrit ces deux mots, et je puis à peine m’empêcher de rire. Cette exclamation me semble tirée d’un livre. J’ai l’air de composer une nouvelle sentimentale, ou de terminer une lettre désespérée… C’est demain l’autre 18 Janvier ; et alors ? J’aurais jamais osé dire ce « et alors » si tout n’a pas était victime de caprice et de craquage pour la fausse identité excitante de la féminité. Celle pratiqué par celles que vous avez avoué qu’elles se basent sur leurs égoïsmes pour incarner leurs charmes. Moi je peux distinguer le miel par le gouter, pas par le voir attirer les mouches. Ce dernier s’il est conscient de sa pureté, il attendra qu’il soi remarqué par de vrai dégustateurs. Se montrer les cuisses..les fesses..n’a jamais était un signe d’originalité et de pudeur. Malgré ça on se trouve affaibli par le résultat d’attraction et on veut nous aussi attirer, craquer, envoyer faire foutre, être au niveau de la concurrence de notre entourage, ne jamais être notre propre maitre de nos décisions, que amoureuses, que politique. Se peut-il que je meure demain ? Ce ne serait pas même convenable. Du reste, cela me va Comme le médecin m’a tracassé un jour!

18 Janvier ? Un 7 Novembre émotionnel ; Une émotion a transistor, courant ou ambitions a sens unique. Ma vie est éteinte. Je mormoralais certainement aujourd’hui. Il fait chaud dehors, il fait presque étouffant…, ou bien sont-ce mes poumons qui ne respirent déjà plus ? J’ai joué ma petite comédie du ridicule jusqu’au bout. Le rideau tombe. Je cesse d’être de trop en rentrant dans le néant. Ah ! Comme le soleil est intense ! Ces rayons puissants respirent l’éternité. Il m’est pénible d’écrire… Je jette la plume… Il est temps ! La mormoral ne m’arrive déjà plus avec ce bruit toujours croissant de regrets et d’ultime déception. Je me mormoralise… Vivez, vous autres, c’est ce qui vous importe enfin de compte !

Nous avons trouvé sous ces dernières lignes l’esquisse d’une tête avec des grands dégâts. Aujourd’hui, un jour de Décembre, je prend mon train a 13h, j’aurais pas de quête appart faire arrêter mon « dé sombre ». je tiens a s’accrocher au nombre qu’il va me le donner, j’attendrais pas forcément un « 6 ». je dis pas que y’a pas ceux qui méritent un « 6 » mais ça viens tout seul pour ceux qui méritent. Le faite d’attendre un « 6 » c’est déjà un signe d’égoïsme. Alors qu’est qu’on dit a propos de ceux qui on eu un nombre et au bout de la route ils aurons un tel envi cruel de rejeter le dé. Faut être a la hauteur de ce qu’on demande. Et entre mérite, égoïsme et cruauté…Pousse la condition...! Sinon, Je termine toujours mes damné d’articles avec un titre, que je sens avoir trouver en lui, ce qui a manquer a exprimer.



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